Une fille dénonce la réalité des diplômés en psycho qui peinent à décrocher une job payante au Québec
Sophia, diplômée d'un bac en psychologie, raconte sa lutte pour trouver une job décente dans le marché de l'emploi québécois, où le salaire et les attentes semblent rarement s'accorder.
Elle partage dans une vidéo TikTok devenue virale qu'elle cherche depuis deux mois sans succès, et que son dernier refus, pour un poste payé 22 $ l'heure, lui a donné un solide coup sur le moral.
Elle explique que l'employeur trouvait son expérience insuffisante même si elle possède un diplôme universitaire et quelques années sur le terrain, ce qui rend la situation encore plus frustrante.
Elle affirme que la majorité des offres trouvées sur Indeed et LinkedIn tournent autour de 20 $ l'heure, un montant difficile à accepter après un long parcours d'études exigeant.
La frustration de Sophia reflète un malaise réel
Elle dit avoir l'impression qu'il y a moins de postes disponibles et que les critères d'embauche deviennent si rigides que les jeunes diplômés ne savent plus comment percer.
Elle ajoute qu'en psychologie, sans maîtrise ou combinaison de spécialisations, les débouchés bien payés se font rares et cela amplifie son sentiment d'impasse.
Elle mentionne qu'elle a besoin d'une job rapidement parce que la pression financière devient lourde, même si elle tente de garder une vision positive de l'avenir.
Elle constate aussi que plusieurs diplômés vivent la même chose et qu'une sorte de découragement collectif s'installe chez ceux et celles qui ont investi temps et argent dans leurs études.
Dans sa vidéo, accessible sur TikTok, elle demande des conseils pour comprendre ce qui se passe et elle remet en question la valeur réelle d'un bac en psychologie dans le système actuel.
Elle reçoit des commentaires très directs, certains affirmant que son diplôme a peu de valeur sans combinaison, d'autres lui suggérant de se lancer à son compte pour contourner un système jugé brisé.
Elle se dit reconnaissante des messages reçus, même si plusieurs témoignages confirment ses inquiétudes, en parlant d'un marché saturé où les conditions stagnent depuis trop longtemps.
Elle reconnaît que l'idée de se créer un emploi autonome l'interpelle, mais elle avoue aussi que ce n'est pas une solution simple quand on cherche avant tout une stabilité de base.
Elle espère que partager sa situation encouragera une conversation plus large sur les salaires, la reconnaissance des diplômes et la transition vers le marché du travail pour les jeunes adultes.
| SONDAGE | ||
24 NOVEMBRE | 67 RÉPONSES Une fille dénonce la réalité des diplômés en psycho qui peinent à décrocher une job payante au Québec Croyez-vous que le bac en psychologie aide réellement Sophia à obtenir une job bien payée? | ||
TOP 5
