Une application québécoise permet de faire de grandes économies sur l'épicerie tout en évitant le gaspillage
On dirait que tout coûte trop cher à l'épicerie ces temps-ci. Résultat : tout le monde cherche des trucs pour dépenser un peu moins sans finir à manger du riz nature trois soirs de suite. Désormais, une tendance explose un peu partout au Québec : les applications anti-gaspillage.
Des applications comme FoodHero, Flashfood ou Too Good To Go qui vendent, à rabais, les invendus des supermarchés.
Ce ne sont pas des trucs passés date, non. Ce sont des produits encore parfaits, juste un peu trop proches de leur échéance pour rester sur les tablettes.
FoodHero, le héros local qui sauve nos portefeuilles (et la planète)
Ce n'est pas juste une mode. FoodHero, c'est une entreprise d'ici, et elle est adorée : elle a 600 000 utilisateurs actifs chaque mois au Canada, dont la moitié sont au Québec.
Leur idée est simple : on sauve des aliments, on paye moins cher, on gaspilles moins. Tout le monde y gagne.
Le vice-président exécutif, Renaud LeBlanc, le résume bien :
« Derrière chaque économie réalisée, il y a une famille, un étudiant, un retraité qui respire un peu mieux à la fin du mois. »
Honnêtement, il n'exagère pas, parce qu'en 2025, faire l'épicerie, c'est très difficile.
Le Journal de Montréal a sorti les chiffres : une famille de quatre à Montréal dépense maintenant près de 290 $ par semaine. En un an, ça fait 15 000 $ juste pour manger.
On ne parle pas de repas de luxe, juste du quotidien : des pâtes, du pain, du lait, des fruits.
Ainsi, forcément, les applications comme FoodHero tombent à point.
Elles redonnent un peu de marge, un peu de contrôle et un petit sentiment de victoire quand on réussit à sauver quelques dollars et une baguette encore bien moelleuse.
FoodHero est déjà partenaire d'IGA, Metro, Rachelle-Béry et Marchés Tradition.
Plus de 1 100 points de vente participent, et l'entreprise prévoit d'en ajouter 1 000 de plus d'ici 2026.
C'est ça, la beauté du de cette idée : sauver la planète sans se ruiner. Un petit geste, un panier à moitié prix, une facture un peu moins salée et surtout, la preuve qu'on peut consommer autrement.
Source : MonFric
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