Daniel Lavoie a partagé une révélation méconnue à son sujet à Sucré Salé, et ça fait beaucoup réagir

Entre deux échanges complices, le chanteur a évoqué un détail étonnant de sa vie, remontant à plus de cinquante ans. En 1972, bien avant la notoriété, il portait un tout autre prénom: Gérald. Une décision marquante l'a poussé à l'abandonner.

À l'époque, c'est Yvan Dufresne, aujourd'hui décédé, qui l'avait convaincu que le nom « Gérald » ou « Gerry » n'allait pas lui ouvrir de portes dans le milieu artistique québécois.

Avec humour, il souligne qu'Yvan s'était visiblement trompé, en pensant à la popularité qu'allait connaître Gerry Boulet par la suite.

Le jeune homme qu'il était a donc cherché une alternative, et c'est sans trop réfléchir qu'il a ouvert un bottin téléphonique. Le premier prénom qui a capté son attention: Daniel.

Voici ledit extrait:

Ce choix fait un peu par hasard allait pourtant devenir indissociable de sa carrière.

Changer de prénom, c'est loin d'être banal. Et quand c'est fait sur un coup de tête, dans un contexte de début de carrière, ça prend un tout autre sens.

Daniel Lavoie, depuis, a su imposer ce prénom comme une signature dans le paysage musical francophone.

Ce genre de confidence inattendue, livrée dans un cadre léger comme celui de Sucré Salé, rend le moment encore plus savoureux pour le public.

Ça humanise l'artiste, qui semble lui-même regarder son parcours avec une certaine distance amusée.

Cette apparition à la télé coïncide d'ailleurs avec une période bien chargée pour le chanteur.

À l'occasion du 25e anniversaire de Notre-Dame de Paris, il s'apprête à retrouver la scène aux côtés de visages emblématiques de la première distribution.

Le 20 août prochain, la SuperFrancoFête promet un moment rempli de nostalgie, alors que Daniel Lavoie partagera l'Agora du Port de Québec avec Garou, Patrick Fiori, Hélène Ségara, Julie Zenatti et Natasha St-Pier, sans oublier la relève qui viendra prêter voix à cette oeuvre marquante.

Ce retour aux sources, combiné à cette confidence inattendue, rappelle à quel point les débuts peuvent être imprévisibles, et que, parfois, un simple prénom peut ouvrir toutes les portes.