En deuil, India Desjardins et son amoureux, bien connu du public, annoncent une triste nouvelle
En deuil, India Desjardins et Olivier Bernard, connu sous le nom du Pharmachien, traversent une épreuve difficile. Leur fidèle compagnon, Gustav, est décédé des suites d'un cancer fulgurant.
La nouvelle, partagée sur les réseaux sociaux, a bouleversé leur communauté qui leur envoie une pluie de messages de réconfort.
Pour le couple, Gustav n'était pas qu'un simple chien. Dès son adoption, il a pris une place immense dans leur quotidien, devenant un vrai soutien dans les moments de fragilité.
Son nom, choisi pour sa signification liée à l'appui et à la force, prenait tout son sens alors qu'ils traversaient eux-mêmes une période difficile.
Ironie du sort, c'est lui qui est rapidement devenu fragile à cause de problèmes de santé, mais cela n'a fait que renforcer le lien unique entre eux.
India Desjardins et Olivier Bernard face à la perte de Gustav
Gustav avait cette personnalité débordante qui remplissait la maison. Son côté tannant faisait rire et apportait du chaos joyeux, au point que son calme devenait inquiétant.
Il avait ses habitudes bien à lui, notamment lors des promenades où il aimait choisir les trajets, imposer ses détours et même rendre visite à ses amis canins du quartier. Ce petit rituel quotidien montrait à quel point il savait profiter de la vie, oreilles au vent, attentif à chaque détail du monde qui l'entourait.
Il adorait les jeux, les moments passés collé à ses humains, les balades au parc, et même de simples plaisirs, comme s'étendre sur le sol frais.
Derrière sa grande taille, il cachait une douceur et une délicatesse marquées, toujours attentif à l'humeur de ceux qu'il aimait. Quand l'un d'eux n'allait pas bien, il trouvait une façon de réconforter.
Aujourd'hui, ce vide se fait cruellement sentir. Leur maison, autrefois remplie d'énergie et de rires grâce à lui, paraît plus silencieuse.
En partageant leur peine publiquement, India et Olivier ont reçu des centaines de témoignages touchants de gens qui comprennent cette douleur. Plusieurs internautes leur rappellent que perdre un animal, c'est perdre un membre de la famille.
Voici le message d'India qu'elle a écrit sur son compte Instagram:
« (2017-2025)
💔
Olivier et moi avons dit adieu à notre compagnon Gustav, décédé à la suite d'un cancer fulgurant. Si jamais vous nous croisez prochainement, il se peut que nous ne soyons pas à notre meilleur nous sommes inconsolables.
Nous l'avons appelé « Gustav » car nous avions lu que ce nom signifiait « soutien » et c'est ce dont nous avions besoin au moment de son adoption. Nous avions à ce moment été obligés de faire le deuil d'être parents. Finalement, alors qu'il était tout petit, nous avons appris qu'il avait un handicap à la patte et une maladie intestinale et c'est nous qui avons été son soutien. Mais il l'a été lui aussi pour nous. Il nous réveillait avec une bonne humeur contagieuse et notre maison était remplie par sa joie.
C'était un gros tannant. Tellement tannant que c'est lorsqu'il ne l'était pas qu'on savait qu'il n'allait pas bien. Nous aimions ce chaos et maintenant qu'il ne sera plus là, ça causera un grand vide
Pendant ses trois premières années de vie, nous pensions qu'il n'aimait pas prendre des marches, jusqu'à ce qu'on découvre qu'il aimait ça, mais qu'il fallait LE suivre! Et il était vraiment meilleur que nous pour faire des itinéraires. Il avait ses chemins, il nous amenait chez ses amis (particulièrement Binoche et Alba), il voulait prendre le temps d'observer le paysage, sentir le vent qui faisait virevolter ses oreilles Nous aimions être témoins de ses préférences, ses petits plans, sa vie.
Il aimait: sauter dans la neige, le parc Laurier, jouer à la corde avec Olivier, se coucher contre moi pendant que je lisais ou que j'écrivais, le pain, les entraînements, le sol froid sous sa bedaine, sa famille, Elliott, Zara
Il était doux, gentil, et délicat malgré sa grande taille. Il s'occupait de nous quand on était malades ou tristes. Il nous accueillait toujours avec excitation. Il comprenait plein de mots mais aussi tant de choses qui nous dépassent encore.
C'est sûrement cliché mais c'est la phrase de Lamartine qui tourne en boucle dans ma tête en ce moment:
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. »
Sans lui, tout sera un peu plus vide.
Bye mon Gugu.
On t'aime plus que tout.
Câlin de famille 🤍 »
💔
Olivier et moi avons dit adieu à notre compagnon Gustav, décédé à la suite d'un cancer fulgurant. Si jamais vous nous croisez prochainement, il se peut que nous ne soyons pas à notre meilleur nous sommes inconsolables.
Nous l'avons appelé « Gustav » car nous avions lu que ce nom signifiait « soutien » et c'est ce dont nous avions besoin au moment de son adoption. Nous avions à ce moment été obligés de faire le deuil d'être parents. Finalement, alors qu'il était tout petit, nous avons appris qu'il avait un handicap à la patte et une maladie intestinale et c'est nous qui avons été son soutien. Mais il l'a été lui aussi pour nous. Il nous réveillait avec une bonne humeur contagieuse et notre maison était remplie par sa joie.
C'était un gros tannant. Tellement tannant que c'est lorsqu'il ne l'était pas qu'on savait qu'il n'allait pas bien. Nous aimions ce chaos et maintenant qu'il ne sera plus là, ça causera un grand vide
Pendant ses trois premières années de vie, nous pensions qu'il n'aimait pas prendre des marches, jusqu'à ce qu'on découvre qu'il aimait ça, mais qu'il fallait LE suivre! Et il était vraiment meilleur que nous pour faire des itinéraires. Il avait ses chemins, il nous amenait chez ses amis (particulièrement Binoche et Alba), il voulait prendre le temps d'observer le paysage, sentir le vent qui faisait virevolter ses oreilles Nous aimions être témoins de ses préférences, ses petits plans, sa vie.
Il aimait: sauter dans la neige, le parc Laurier, jouer à la corde avec Olivier, se coucher contre moi pendant que je lisais ou que j'écrivais, le pain, les entraînements, le sol froid sous sa bedaine, sa famille, Elliott, Zara
Il était doux, gentil, et délicat malgré sa grande taille. Il s'occupait de nous quand on était malades ou tristes. Il nous accueillait toujours avec excitation. Il comprenait plein de mots mais aussi tant de choses qui nous dépassent encore.
C'est sûrement cliché mais c'est la phrase de Lamartine qui tourne en boucle dans ma tête en ce moment:
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. »
Sans lui, tout sera un peu plus vide.
Bye mon Gugu.
On t'aime plus que tout.
Câlin de famille 🤍 »
Le départ de Gustav laisse un grand vide, mais aussi une foule de souvenirs lumineux qui continueront d'accompagner ses maîtres dans les prochaines étapes de leur vie.
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